"Laßt uns Vergewaltigung erlauben! Dann können wir sie leichter beobachten und kontrollieren." Würde jemand diese Schwachsinn von sich geben, er erntete ein Höllenfeuerwerk.
Andererseits ist es problemlos möglich, mit diesem Schwachsinn Menschen umzubringen.
Das Zitat in der Übersetzung von Google Translate:
[*quote*]
30, 40 years ago in the 1980s all faculties of medicine in France started to do degrees in homeopathy with the idea of framing this practice and it would be better supervised within the faculty rather than in uncontrolled outdoor pharmacies.[*/quote*]
Das ist der nackte Wahnsinn! Man hat Homöopathie salonfähig und sogar wissenschaftsfähig gemacht, damit man die Scharlatane besser bobachten kann.
Was hat es gebracht? Eine massive Ausbreitung der Homöopathie. Eine Durchseuchung der Gesellschaft mit esoterischem Müll jenseits des Erbrechens. Und Tote!
Dabei hätte man lediglich konsequent sein müssen und Homöopathie vollständig verbieten müssen. Vergewaltigung wird ja auch nicht erlaubt.
Nein, dieser Vergleich ist nicht unzulässig!!! Homöopathie ist geistige Vergewaltigung schon von Kleinkindern. Das muß endlich unter Strafe gestellt werden.
Zur Beweismittelsicherung die Übersetzung und die Quelle. Bitte immer daran denken: Dies ist ein Anker. Bitte unbedingt die Originalseite lesen!
The anchor:
[*quote*]
Homeopathy diploma suspended at the Lille faculty: "It has remained a doctrine on the sidelines of the scientific movement"
Professor Didier Gosset, dean of the Faculty of Medicine at the University of Lille, explained on franceinfo why he decided to suspend this year his diploma of homeopathy, in "pending the position" of the High Authority of health.
The Faculty of Medicine of the University of Lille suspends its training in homeopathy pending the opinion of the High Health Authority on the practice.
The Faculty of Medicine of the University of Lille suspends its training in homeopathy pending the opinion of the High Health Authority on the practice. (PHILIPPE HUGUEN / AFP)
avatarfranceinfoRadio France
Updated on 02/09/2018 | 8:43 p.m.
published on 02/09/2018 | 8:43 p.m.
Tribune to save the planet: "For us to stop being spectators of the disaster, we must be actors," argues Juliette Binoche
"Homeopathy has not changed, it has remained a doctrine on the sidelines of the scientific movement," said Professor Didier Gosset, dean of the Faculty of Medicine at the University of Lille, who decided on to suspend for the academic year 2018-2019 diploma of homeopathy, in "expectation of the position" of the High Authority of Health (HAS) on this practice.
"There is no study that can show the effectiveness outside of its placebo effect," said Didier Gosset. For him, it is "to remain ethical, what is not ethical is not scientific".
franceinfo: You have made the decision to suspend the teaching of homeopathy for the 2018-2019 academic year. Why now while in Bordeaux we do not teach this discipline since 2009?
Didier Gosset: Indeed it may be a little late, you're right. But there is a new debate on homeopathy, most recently in August. In addition, we are interviewed by a number of doctors and students. The idea is to match our values and our conduct. Our values are scientific rigor. We can not teach what is not consistent with a medicine that is not evidence-based.
30, 40 years ago in the 1980s all faculties of medicine in France started to do degrees in homeopathy with the idea of framing this practice and it would be better supervised within the faculty rather than in uncontrolled outdoor pharmacies. Time has passed, medical knowledge has evolved. Homeopathy has not evolved, it has remained a doctrine on the sidelines of the scientific movement. There is no study that can show efficacy outside of its placebo effect. Studies are rare, not very solid, done on small populations. It is often misrepresented as effective. The idea is to remain ethical. What is not ethical is not scientific.
The faculty of Lille awaits the position of the High Health Authority on the reimbursement of homeopathic treatments. What could this decision change?
The High Health Authority was questioned about reimbursement issues. This is a political issue that will be judged by the politicians but will be based on a certain number of authoritative opinions, notably learned societies. The Conference of Deans of Faculties of Medicine is seized and will also set up a more general observatory of a number of practices such as aromatherapy. In the light of this collective reflection, we will see what needs to be done. We will know the official position that will be taken.
The teaching of homeopathy was it within your faculty?
Stopping this teaching will not revolutionize public health in France. There are a few doctors who register annually often to change their practices over time. This remains quite marginal. What is important in homeopathy is not so much the granule, but the placebo effect. This placebo effect depends on the patient, the doctor and their relationship. What is important and must be valued is the time spent with the patient to discuss. It's listening, it's the quality of the patient / doctor relationship. The position of the Faculty of Lille is an academic position that puts our thinking in line with our teaching practices.
[*/quote*]
The original:
GO THERE AND READ THE ARTICLE! This is only an anchor!
https://www.francetvinfo.fr/sante/soigner/suspension-du-diplome-d-homeopathie-a-la-faculte-de-lille-c-est-reste-une-doctrine-en-marge-du-mouvement-scientifique_2922283.html#xtor=CS2-765-[twitter]-
[*quote*]
Suspension du diplôme d'homéopathie à la faculté de Lille : "C'est resté une doctrine en marge du mouvement scientifique"
Le professeur Didier Gosset, doyen de la faculté de Médecine de l'université de Lille, a expliqué sur franceinfo pourquoi il a décidé de suspendre cette année son diplôme d'homéopathie, dans "l'attente de la position" de la Haute autorité de santé.
La faculté de Médecine de l'université de Lille suspend sa formation en homéopathie en attendant l'avis de la Haute autorité de santé sur la pratique. (PHILIPPE HUGUEN / AFP)
avatarfranceinfoRadio France
Mis à jour le 02/09/2018 | 20:43
publié le 02/09/2018 | 20:43
257
partages
PartagerTwitterPartager
Envoyer
LA NEWSLETTER ACTUNous la préparons pour vous chaque matin
image il y a 3 heures
Tribune pour sauver la planète : "A nous d'arrêter d'être spectateurs de la catastrophe, il faut être acteurs", plaide Juliette Binoche
"L'homéopathie n'a pas évolué, c'est resté une doctrine en marge du mouvement scientifique", a déclaré dimanche 2 septembre sur franceinfo le professeur Didier Gosset, doyen de la faculté de Médecine de l'université de Lille qui a décidé de suspendre pour l'année universitaire 2018-2019 son diplôme d'homéopathie, dans "l'attente de la position" de la Haute autorité de santé (HAS) sur cette pratique.
"Il n'y a pas d'étude qui puisse montrer l'efficacité en dehors de son effet placebo", a indiqué Didier Gosset. Pour lui, il s'agit "de rester éthique. Ce qui n'est pas éthique n'est pas scientifique".
franceinfo : Vous avez pris la décision de suspendre pour l'année universitaire 2018-2019 l'enseignement de l'homéopathie. Pourquoi maintenant alors qu'à Bordeaux on n'enseigne plus cette discipline depuis en 2009 ?
Didier Gosset : Effectivement c'est peut-être un peu tardif, vous avez raison. Mais il se trouve qu'il y a un nouveau débat sur l'homéopathie, tout récemment au mois d'août. Par ailleurs, nous sommes interrogés par un certain nombre de médecins et d'étudiants. L'idée est de mettre en adéquation nos valeurs et notre conduite. Nos valeurs, c'est la rigueur scientifique. On ne peut pas enseigner ce qui n'est pas conforme à une médecine qui ne serait pas fondée sur les preuves. Il y a 30, 40 ans dans les années 1980 toutes les facultés de médecine de France se sont mises à faire des diplômes d'homéopathie avec l'idée d'encadrer cette pratique et que ce serait mieux encadré au sein de la faculté plutôt que dans des officines extérieures non contrôlées. Le temps a passé, les connaissances médicales ont évolué. L'homéopathie n'a pas évolué, c'est resté une doctrine en marge du mouvement scientifique. Il n'y a pas d'étude qui puisse montrer l'efficacité en dehors de son effet placebo. Les études sont rares, pas très solides, faites sur des petites populations. Elle est souvent présentée abusivement comme efficace. L'idée c'est de rester éthique. Ce qui n'est pas éthique n'est pas scientifique.
La faculté de Lille attend la position de la Haute autorité de santé sur le remboursement des traitements homéopathiques. Qu'est-ce que cette décision pourrait changer ?
La Haute autorité de santé a été interrogée sur les questions de remboursement. C'est une question politique qui sera jugée par les politiques mais qui va se fonder sur un certain nombre d'avis autorisés, notamment de sociétés savantes. La conférence des doyens des facultés de médecine qui est saisie et va également mettre en place un observatoire plus général d'un certain nombre de pratiques comme par exemple l'aromathérapie. À la lueur de cette réflexion collective, on verra ce qu'il y a lieu de faire. On connaîtra la position officielle qui sera prise.
L'enseignement de l'homéopathie était-il porteur au sein de votre faculté ?
Le fait d'arrêter cet enseignement ne vas pas révolutionner la santé publique en France. Il y a quelques médecins qui s'inscrivaient annuellement souvent pour modifier leurs pratiques au fil du temps. Cela reste tout à fait marginal. Ce qui est important dans l'homéopathie, ce n'est pas tellement le granule, mais l'effet placebo. Cet effet placebo dépend du patient, du médecin et de leur relation. Ce qui est important et il faut le valoriser, c'est le temps passé auprès du patient à discuter. C'est l'écoute, c'est la qualité de la relation malade/médecin. La position de la faculté de Lille est une position académique qui met en conformité notre mode de pensée avec nos pratiques pédagogiques.
[*/quote*]
