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Die Drahtzieher / Hintergruende und Methoden => Die Akte SKS, Stiftung Konsumentenschutz => Topic started by: ama on November 13, 2006, 05:43:27 AM

Title: Drei schweizer medizinische Fachgesellschaften warnen!
Post by: ama on November 13, 2006, 05:43:27 AM
Drei schweizer medizinische Fachgesellschaften haben sich das Machwerk von Hans Ulrich Albonico, Martin Hirte, Hans-Peter Studer und der SKS Stiftung Konsumentenschutz angesehen und kommentiert:

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Die nachstehenden Stellungnahmen dreier Fachgesellschaften zeigen
deutlich, dass die vorliegende Broschüre minimale Voraussetzungen
nicht erfüllt, die bei einer derart wichtigen Fragestellung
notwendig sind.

Zu hoffen bleibt, dass bei der Erarbeitung der 7. Auflage auch
anerkannte, glaubwürdige Fachpersonen zu Rate gezogen werden und
die Broschüre dem Konsumenten auch einen tatsächlichen Dienst
erweisen kann.

Ressort Gesundheit und Prävention FMH
Communication FMH
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Quelle:
http://www.saez.ch/pdf_d/2006/2006-37/2006-37-862.PDF


Auch die folgende Kritik der Société Suisse de Pédiatrie (SSP/SGP) ist vernichtend. Sie wird vorgetragen von

Dr Pierre Klauser
Past Président SSP/SGP
Spécialiste FMH en Pédiatrie
92, rte de Frontenex
1208 Genève


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Société Suisse de Pédiatrie (SSP/SGP)
L’analyse différenciée de cette brochure nous
mène à la position suivante:

Le message sous-tendu tout au long de la bro-chure
est toujours empreint d’une trop grande
retenue, d’une trop extrême prudence qui dé-conseille
toute intervention, voire même d’une
méfiance persistante face à l’attitude des recom-mandations
officielles médicales et politiques
pourtant basées sur des données internationale-ment
reconnues comme valides.

Les assertions dans la brochure ne sont pas
correctes et ne permettent pas de faire un choix
éclairé. Ceci notamment car il manque réguliè-rement
une pondération numérique dans l’énumé-ration
des risques naturels des maladies et des
effets secondaires des vaccinations. Par analogie,
on pourrait imaginer une brochure décrivant sur
un même plan les plaisirs et bienfaits des sports
ou des vacances et les risques d’y contracter des
maladies et d’y subir des accidents (ceci donne-rait
par analogie: «les vacances en Grèce peuvent
être dangereuses parce qu’un enfant ayant développé
une leucémie s’était tapé la tête au fond d’une
piscine en Grèce des années auparavant»).

En outre, la brochure transmet des informations
fausses entre autres:

– Sur la biologie de l’immunité: «il n’y a pas
de pression du temps à vacciner tôt (p. 5)». Au
contraire, il est formellement établi que les
anticorps transmis par la mère décroissent de
moitié toutes les 3 semaines et qu’en l’absence
de vaccination l’âge moyen des nourrissons
présentant une méningite à Hib ou à pneumo-coques
est de 4–5 mois (avec ou sans allaite-ment)!
Pour les prématurés, la situation est
encore plus urgente, puisqu’ils naissent avec
des taux d’anticorps maternels beaucoup
plus faibles. Enfin, la majorité des enfants
hospitalisés avec une coqueluche ont moins
de 6 mois …

– Sur la virologie: il n’y a jamais eu aucune
relation immunologique susceptible de per-mettre
une protection «croisée» entre le virus
respiratoire synctial (RSV) et le virus de la
rougeole (p. 25); l’état immunitaire des mères
envers la rougeole n’a jamais eu et n’aura
donc jamais aucune influence sur la fré-quence
des bronchiolites à RSV, qui ont tou-jours
atteint les petits enfants et continueront
de le faire tant qu’un moyen efficace de pré-vention
ne sera pas disponible! L’aug-
mentation des déclarations à l’OFSP est liée
à l’introduction des tests de diagnostic et
celle des hospitalisations reflète l’introduc-tion
des mesures transcutanées d’oxymétrie
et de la recommandation d’hospitaliser les
enfants dès l’atteinte d’une saturation infé-rieure
à 94% et non plus seulement à 90% ...

– Sur l’autisme: la prétendue relation entre la
présence de mercure et l’augmentation mas-sive
de l’autisme (p. 11) a été largement
recherchée depuis ces allégations, sans toute-fois
être confirmée par les études contrôlées.

– Sur le retrait du vaccin Hexavac ® : il a été clai-rement
établi communiqué par les autorités
responsables des produits de santé (EMEA en
Europe, Swissmedic en Suisse) que l’Hexavac ®
était retiré du marché en raison d’incerti-tudes
quant à son immunogénicité à long
terme résultant de modifications dans les
processus de production et non l’existence
de morts subites survenues dans les jours
suivant une vaccination (p. 12).

– La prévention du tétanos en cas de blessure:
la prévention du tétanos par injection de
sérum (p. 37) berce d’illusions: les blessures
dangereuses passent souvent inaperçues car il
suffit d’une blessure peu étendue (piqure, …)
ne conduisant donc pas à la demande d’une
prévention par immunoglobulines. Et s’il y a
un geste dont les scientifiques ont appris à
se méfier, c’est bien celui des injections à
l’étranger (risque de transmission d’hépatites
B et/ou C ou de VIH par utilisation de maté-riel
non stérile) d’un sérum d’origine humaine
(risques de contamination encore inconnues,
comme les prions).

La brochure véhicule aussi des informations
pseudo-scientifiques dans le sens où elle pré-tend
(p. 13) que des maladies autrefois bénignes
seraient considérées maintenant comme dan-gereuses.
Non, la rougeole et ses encéphalites
n’ont jamais été bénignes. Non, le cancer du
col de l’utérus ne l’est pas. C’est le dévelop-pement
des connaissances et l’augmentation
des exigences de santé de la part de la popula-tion,
parallèlement à l’augmentation du niveau
de vie, qui rendent ces maladies inacceptables
au XXI e siècle et nous engagent dans la voie de
la prévention par la vaccination, lorsque celle-ci
devient possible …


Le chapitre sur la rougeole (p. 46–47) contient
toujours de nombreuses inexactitudes et contre-vérités:

– Il reconnaît que (grâce à la vaccination!) la
rougeole ne survient plus en Suisse que dans
des épidémies limitées, qu’il traite de «petites
et locales». En 2003, ce sont pourtant plus
de 670 cas qui ont été déclarés à l’OFSP, en
provenance de 20 cantons …

– Il indique que le risque de la complication la
plus grave (la panencéphalite subaiguë pro-gressive
ou SSPE) est plus élevé chez les nour-rissions
de mères vaccinées qui s’infectent
dans la première année de vie dès la perte des
anticorps maternels … sans dire que le risque
est bien supérieur chez les nourrissons de
mères non vaccinées! Le dernier enfant décédé
de SSPE à Genève, il y a seulement quelques
années, avait été contaminé par la rougeole
de sa mère juste avant sa naissance …

– Il indique qu’un vaccin monovalent contre la
rougeole est disponible en Suisse, ce qui n’est
actuellement plus le cas.

– Il indique que l’élimination de la rougeole
nécessite une couverture vaccinale de 95%
qui ne serait pas atteignable … sans citer les
nombreux pays qui ont déjà réussi à éliminer
la rougeole de leur territoire.

– Il indique que l’encéphalite après vaccination
contre la rougeole pourrait survenir dans un
cas sur 11 000 – ce qui est tout à fait incompa-tible
avec les données de surveillance qui
indiquent un risque maximal (non confirmé!)
de 1 par million.

– Il indique la suspicion d’un lien avec les
maladies inflammatoires chroniques de
l’intestin et l’autisme sans indiquer que
toutes les études contrôlées ont confirmé
l’absence d’association entre vaccination ROR
et ces deux pathologies.

– Il continue à mentionner que le fait de ne pas
faire des «maladies d’enfance» augmenterait
le risque de cancer, sclérose en plaques et
autres défauts de l’immunité …
Le chapitre sur les méningocoques (p. 54–55)
réunit plusieurs défauts:

– La recommandation suisse actuelle n’est pas
limitée à des groupes à risque particuliers.

– Il n’y a pas de vrai «paradoxe anglais» puisque
la mortalité rapportée est due au méningo-coque
du groupe B et non au groupe C seul
contenu dans le vaccin.

– Les réactions locales sont certes fréquentes,
mais il est faux de les mettre sur le même plan
de probabilité que les réactions générales.

– Les 6 décès britanniques rapportés sont à
mettre malheureusement en relation avec les
morts subites du nourrisson, dont le nombre
global n’a pas augmenté! Il serait aussi hon-nête
de signaler que cette coïncidence ne nous
concerne pas puisque ce vaccin n’est recom-mandé
par l’OFSP qu’après l’âge de 12 mois.

– Des cas de syndrome de Guillain-Barré ont
été rapportés en association temporelle lors
de l’introduction d’un vaccin quadrivalent
conjugué (non encore disponible en Suisse!)
dans les collèges américains. Le suivi par le
CDC a montré qu’il s’agissait d’une fausse
alerte et écarté une relation causale entre
vaccination et Guillain-Barré.


Le chapitre sur les pneumocoques (p. 56–57)
instille lui-aussi des informations mal pondérées
qui désorientent les lecteurs-trices:

– Il oppose de façon occulte les 90 sérotypes
de germes naturels aux quelques 7 ou 23 séro-types
visés par les vaccins, sans mentionner
que les 7 proposés représentent environ 80%
des souches responsables des infections inva-sives
des petits enfants en Suisse.

– Certes le naso-pharynx se recolonise, mais
avec des germes moins pathogènes et moins
résistants aux antibiotiques, si bien que le
risque d’infection invasive (méningite, bacté-riémie)
est considérablement diminué (>90%)
par la vaccination.

– Les effets secondaires sont décrits sans dis-tinguer
ceux qui pourtant classiquement
attribués au vaccin DTPa administré conco-mitamment
(pleurs persistants, hypotonie-hyporéactivité)
et non à la vaccination contre
les pneumocoques; ils mettent à nouveau sur
le même plan la fièvre, assez courante, et les
convulsions, très rares.
Ce qui nous mène à la conclusion suivante:

– Il s’agit d’une brochure rédigée à dessein
d’une manière subtile en utilisant systémati-quement
des éléments inquiétants sans la
pondération nécessaire et délivrant ainsi
un message tellement méfiant qu’on ne peut
aucunement la qualifier de neutre.

– On ne peut que déconseiller cette brochure
qui n’est pas un outil crédible permettant de
soutenir un choix éclairé des parents soucieux
d’une information de qualité au moment de
faire des choix aussi importants que ceux
concernant la vaccination de leurs enfants.

Dr Pierre Klauser
Past Président SSP/SGP
Spécialiste FMH en Pédiatrie
92, rte de Frontenex
1208 Genève
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Quelle:
http://www.saez.ch/pdf_d/2006/2006-37/2006-37-862.PDF


Bei einem "Ratgeber", der seit 2000 erscheint, heftig in der Kritik steht, von selbsternannten Impfspezialisten gemacht wird, ist das eine vernichtende Kritik.

Aber bereits die im Jahr 2005 erfolgte Kritik hat die Macher, die Herren Hans Ulrich Albonico, Martin Hirte, Hans-Peter Studer und die SKS Stiftung Konsumentenschutz, geistig nicht erreicht. Denn hätten sie die Kritik begriffen, dürften es solche Granatenfehler nicht geben.

Aber nicht nur sie allein haben nichts begriffen. Man darf nicht vergessen, daß hinter Hans Ulrich Albonico und Martin Hirte das geballte Wissen der "Ärzte für einen individuellen Impfentscheid" steht. Es kann schließlich nicht sein, daß die Aktivitäten der im Rampenlicht stehenden Herren Hans Ulrich Albonico und Martin Hirte von den übrigen Mitgliedern der "Ärzte für einen individuellen Impfentscheid" völlig unbemerkt bleiben.

Nein, auch die "Ärzte für einen individuellen Impfentscheid" sind GESAMT an diesem Totalversagen schuld. Jeder einzelne von ihnen.

Und wenn der "Ratgeber" der Stiftung Konsumentschutz das geballte Wissen der "Ärzte für einen individuellen Impfentscheid" darstellt, dann ist dieses Wissen verdammt wenig wert. Das gilt dann für jeden Einzelnen von ihnen...
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